Le club des lecteurs vous propose ses avis de lectures du mois de janvier.
Catherine et Olivier ont apprécié un roman de jeunesse de Lemaitre, "Le serpent majuscule". L'auteur offre ce roman noir en guise de cadeau d'adieu à ses fans de polars et c'est plutôt décapant. Les personnages sont atypiques, en particulier Mathilde, une vieille dame à la gachette facile redoutable dans sa folie.
Autre roman léger et agréable, présenté lors d'un précédent club de lecteurs : "La princesse au petit moi" de Jean-Christophe Rufin : le prince du Starkenbach fait appel à Aurel Timescu, vice-consul loufoque pour retrouver la princesse. Cette enquête, aux multiples rebondissements va le mener jusqu'en Corse. Bon moment de détente.
Catherine et Olivier ont lu à leur tour, "Artifices" de Claire Berest déjà présenté au club des lecteurs. Ils en ont apprécié l'intrigue. Depuis sa suspension, un policier parisien vit reclus. Des événements étranges survenus dans des musées le forcent à mener une enquête qui le conduira à une artiste contemporaine internationale.
Catherine et Olivier ont lu Casa Triton de Kjell Westo (à emprunter par ReVOdoc) . Le célèbre chef d'orchestre Brander s'est fait construire une somptueuse maison sur un île de l'archipel d'Helsinki. Il fait connaissance de son voisin Lindell et ils vont apprendre à se connaître. Belle étude psychologique de personnages très différents les uns des autres, surtout dans le monde musical. Catherine et Olivier ont aimé mais ont cependant regretté des longueurs.
Jo et Macha possède une ferme qu'ils ont transformé au fil du temps en magnifique auberge dans le Lubéron. Une femme en errance arrive dans l'auberge et Jo lui propose un travail de femme de chambre. Elle s'y reconstruit. L'aspect psychologique des personnages est tout en finesse mais l'ensemble, qui pourtant débute bien, devient vite lassant et finit par s'essouffler. La fin à l'eau de rose n'est pas très crédible et même si le roman est bien écrit il n'en demeure pas moins décevant.
Thriller jubilatoire.
Un roman bref qui dépeint les conditions de vie déplorables dans les asiles et hôpitaux psychiatriques, que son fils a fréquentés et où il a subi des traitements à la limite de la torture qui a plu à Maryse.